Témoignage de Maximin
MA PROFESSION DE FOI

sur l’Apparition de N.-D. de La Salette

« AUX DÉFENSEURS

« de Notre-Dame de La Salette »

1959

Les calomnies insistantes contre les deux enfants pour discréditer l’Apparition oblige Maximin à publier Ma profession de foi sur l’Apparition de N.-D. de La Salette ou Réponse aux attaques dirigées contre la croyance des Témoins en 1866 (H. Charpentier imprimeur-éditeur, Paris - 1866).

Après une courte préface et une belle prière à Notre-Dame de La Salette, il donne cette dédicace :

« AUX DÉFENSEURS

« de Notre-Dame de La Salette.

« Je commence, Messieurs, par vous remercier du plus profond de mon cœur de tous vos écrits en faveur de Notre-Dame de La Salette et pour la défense des petits témoins.

« Soyez assez bons pour vouloir bien continuer votre œuvre, car elle soutien par là-même la vérité, si méconnue de notre époque. »


Vendredi 28 novembre 2025
de la Férie
4e classe
Temps après la Pentecôte



Oraison - collecte
Excitez, nous Vous en supplions, Seigneur, la volonté de Vos fidèles, afin que, recherchant avec plus d’ardeur, le fruit des œuvres divines, ils reçoivent de Votre miséricorde des remèdes plus puissants. Par Jésus-Christ Votre Fils, Notre Seigneur, qui vit et règne avec Vous dans l’unité du Saint-Esprit, Dieu dans tous les siècles des siècles.
Ainsi soit-il

Vie du Saint du jour
Les apparitions de la Sainte Vierge Marie à sainte Catherine Labouré, en 1830, sont au départ de la grande épopée des apparitions de la Vierge en France au cours du XIXe siècle.


Comme à Lourdes vingt-quatre ans plus tard, et avant à La Salette en 1846 à deux enfants ignorants, c’est une enfant sans instruction ni prétention que Marie se choisit pour porter au monde son message et demander qu’on l’invoque sous le vocable qui, depuis lors, nous est devenu si familier :

« Ô Marie conçue sans péché, priez pour nous qui avons recours à vous. » La médaille qui fut frappée à la demande de la Sainte Vierge s’est répandue dans le monde entier, produisant partout les grâces innombrables qui lui ont valu son nom de Médaille miraculeuse.


voir la Médaille miraculeuse #1030


Jeune novice au couvent de la rue du Bac à Paris lors des apparitions, sœur Catherine Labouré mena jusqu’à sa mort, chez les Filles de la Charité, une vie toute de silence et de simplicité.

Elle mourut en 1876 à l’âge de soixante-dix ans. Elle fut canonisée par le Pape Pie XII en 1947.


 voir la grande vie du Saint


Résolution pratique du jour
Appliquez-vous à augmenter en vous la Foi ; c’est elle qui opère des merveilles.

Méditation du jour
Dieu Se plaît à exercer notre Foi  suite

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