Les Cahiers de Cassiciacum
Revue fondée en mai 1979,

date de parution du premier numéro,

suspendue après l’annonce en juin 1983 du « sacre sauvage » du R.P. Guérard des Lauriers, o.p.

voir « La question de la semaine » dans pavé bleu colonne de gauche : « Des questions ? »

« Sacre » secret —et qui devait le rester— opéré pour des raisons étrangères à la « Thèse de Cassiciacum »
et totalement opposé à la démarche élaborée par le Dominicain lui-même qui le savait.

Nous allons exposer ici l’état de la question (status quæstionis) concernant les motifs de la publication de ce qu’il est devenu habituel d’appeler la « Thèse de Cassiciacum ».

La notion de « thèse » explicitée, nous examinerons les fondements doctrinaux de la Thèse en donnant les textes et les documents pontificaux impliqués, puis les compléments que constitue la Théologie catholique.

Enfin, l’histoire des Cahiers de Cassiciacum et ses développements actuels dont la question de l’« épiscopat sauvage » avec une perspective psychologique : celle des actions des modernistes et, de l’autre côté, celle des réactions des traditionalistes et des intégroïdes.

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L’ÉTAT DE LA QUESTION (status quæstionis) :

Nous donnerons des éléments concernant les motifs de la publication de ce qu’il est devenu habituel d’appeler la « Thèse de Cassiciacum ».

La notion de « thèse » explicitée, nous examinerons les fondements doctrinaux de la Thèse en donnant les textes et les documents pontificaux impliqués, puis les compléments que procure la Théologie catholique.

L’HISTOIRE DES CAHIERS :

LA THÈSE :

LA DOCTRINE DE L’ÉGLISE :

LA THÉOLOGIE CATHOLIQUE :

L’ÉPISCOPAT SAUVAGE :

L’épiscopat diminué :

LA PSYCHOLOGIE DANS LA CRISE :


Samedi 27 décembre 2025
S. Jean,

apôtre et évangéliste
2e classe

Temps de Noël



Oraison - collecte
Répandez avec bonté Votre lumière en Votre Église, Seigneur, en sorte qu’éclairée par la doctrine du bienheureux Jean, Votre Apôtre et Évangéliste, elle parvienne à la possession de Vos dons éternels. Par Jésus-Christ Votre Fils, Notre Seigneur, qui vit et règne avec Vous dans l’unité du Saint-Esprit, Dieu dans tous les siècles des siècles. Ainsi soit-il.


Mémoire de l’Octave de Noël :


Accordez, Dieu tout-puissant, que la nouvelle naissance de Votre Fils unique dans la chair nous délivre, nous que l’antique esclavage retient encore captifs sous le joug du péché. Par le même Jésus-Christ Votre Fils, Notre Seigneur, qui vit et règne avec Vous dans l’unité du Saint-Esprit, Dieu dans tous les siècles des siècles.

Ainsi soit-il

Vie du Saint du jour
C’est un Dieu que nous adorons à Bethléem durant le Temps de Noël. Saint Jean, l’Évangéliste par excellence de la divinité du Christ, devait donc se trouver à côté de la crèche pour nous dire toute la grandeur de l’Enfant qui y repose. C’est à lui que Jésus confiera Marie Sa Mère, saint Joseph ayant disparu.


Aussi, la liturgie aime-t-elle à nous montrer ensemble, près de l’Enfant et de Sa Mère, celui que l’Évangile appelle le Juste, saint Joseph, et celui à qui l’Église donne aujourd’hui le même titre, saint Jean. L’Enfant-Dieu s’entoure à la crèche d’âmes pures : Marie est la Vierge Sainte, saint Joseph est l’époux virginal, saint Étienne est le premier martyr qui lave sa robe dans le sang de l’Agneau.


Voici maintenant saint Jean, l’Apôtre vierge. Couronné de l’auréole de ceux qui ont su vaincre leur chair, il devint pour ce motif « le disciple que Jésus aimait et qui, pendant la Cène, reposa sur la poitrine de Jésus ». Grâce à sa pureté angélique, il y puisa cette sagesse sublime dont nous parle l’Épître et qui lui valut l’auréole des Docteurs. Aussi l’Introït de sa Messe est-il celui que l’Église emploie au « Commun des Docteurs ».

C’est à saint Jean, qui écrivit un Évangile, trois Épîtres et l’Apocalypse, que l’on doit les plus belles pages sur la divinité de ce Verbe fait chair. Et c’est le motif pour lequel il est symbolisé par l’aigle qui plane dans les hauteurs.


Il reçut enfin l’auréole du martyre, puisqu’il n’échappa à une mort violente que par cette protection toute spéciale dont nous parle l’Évangile qui fit croire à plusieurs que le disciple bien-aimé n’allait pas mourir. Il ne disparut de fait qu’après tous les autres Apôtres. Son nom est cité avec le leur au Canon de la Messe.


Lorsque nous voyons l’aigle de nos lutrins, qui est le symbole de l’Évangéliste de la divinité de Jésus, confessons avec saint Jean que le Verbe S’est fait chair.


« En ce jour on bénit du vin, offert par les fidèles, en souvenir et en l’honneur de saint Jean qui a bu, sans en ressentir de mal, une coupe empoisonnée. » (Rituel romain).


 voir la grande vie du Saint


Résolution pratique du jour
Croissez chaque jour en la connaissance et en l’amour de Jésus-Christ ; plus vous Le connaîtrez, plus vous L’aimerez.

Méditation du jour
Saint Jean nous révélant l’amour du Sacré-Cœur  suite

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