Les Cahiers de Cassiciacum
Revue fondée en mai 1979,

date de parution du premier numéro,

suspendue après l’annonce en juin 1983 du « sacre sauvage » du R.P. Guérard des Lauriers, o.p.

voir « La question de la semaine » dans pavé bleu colonne de gauche : « Des questions ? »

« Sacre » secret —et qui devait le rester— opéré pour des raisons étrangères à la « Thèse de Cassiciacum »
et totalement opposé à la démarche élaborée par le Dominicain lui-même qui le savait.

Nous allons exposer ici l’état de la question (status quæstionis) concernant les motifs de la publication de ce qu’il est devenu habituel d’appeler la « Thèse de Cassiciacum ».

La notion de « thèse » explicitée, nous examinerons les fondements doctrinaux de la Thèse en donnant les textes et les documents pontificaux impliqués, puis les compléments que constitue la Théologie catholique.

Enfin, l’histoire des Cahiers de Cassiciacum et ses développements actuels dont la question de l’« épiscopat sauvage » avec une perspective psychologique : celle des actions des modernistes et, de l’autre côté, celle des réactions des traditionalistes et des intégroïdes.

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L’ÉTAT DE LA QUESTION (status quæstionis) :

Nous donnerons des éléments concernant les motifs de la publication de ce qu’il est devenu habituel d’appeler la « Thèse de Cassiciacum ».

La notion de « thèse » explicitée, nous examinerons les fondements doctrinaux de la Thèse en donnant les textes et les documents pontificaux impliqués, puis les compléments que procure la Théologie catholique.

L’HISTOIRE DES CAHIERS :

LA THÈSE :

LA DOCTRINE DE L’ÉGLISE :

LA THÉOLOGIE CATHOLIQUE :

L’ÉPISCOPAT SAUVAGE :

L’épiscopat diminué :

LA PSYCHOLOGIE DANS LA CRISE :


Jeudi 8 juin 2023
FÊTE-DIEU
le jeudi après la Sainte Trinité

1re classe
Temps après la Pentecôte

Notre-Dame de la Sagesse


S. Maximin,

1er évêque d’Aix-en-Provence

L’un des 72 disciples de N. S.


voir Le Martyrologe #90-4




Oraison - collecte
Ô Dieu, qui nous avez laissé sous un Sacrement admirable le mémorial de Votre Passion, daignez nous accorder la grâce de révérer les sacrés mystères de Votre Corps et de Votre Sang, de manière à ressentir toujours en nous le fruit de Votre rédemption. Vous qui vivez et régnez avec Dieu le Père dans l’unité du Saint-Esprit, Dieu dans tous les siècles des siècles.
Ainsi soit-il

Vie du Saint du jour
Saint Médard et Saint Godard étaient frères jumeaux, et fils d’un des principaux seigneurs de la nation des Francs et d’une noble Gallo-Romaine nommée Protagie, et qui était Chrétienne. Protagie convertit d’abord son époux et consacra à Dieu ses deux enfants.


Saint Médard était, dès ses premières années, d’une tendre compassion pour les pauvres ; il donna son habit et son cheval à deux malheureux. Saint Godard ne le cédait pas en vertu à son frère, et l’égala, dans le succès des études qu’ils firent, sous la direction des évêques de Tournai et de Vermand. Ils entrèrent ensemble dans les Ordres et s’attirèrent la vénération universelle.


Saint Godard fut élu bientôt au siège métropolitain de Rouen, et n’accepta qu’avec un vif regret ; mais Dieu avait sur lui des desseins particuliers. Il coopéra avec saint Remi, saint Waast et son frère, à la conversion de Clovis ; il assista au premier concile d’Orléans, en 551, et consacra saint Lô, évêque de Coutances, sur les révélations d’un Ange.


Pendant ce temps, saint Médard était élevé au siège de Vermand, qui fut transféré à Noyon, parce que cette seconde ville était plus à l’abri des courses des barbares. Puis il fut élu à Tournay et réunit les deux sièges, où il mérita par ses vertus, par ses miracles, par ses épreuves, une renommée qui s’étendit dans toutes les Gaules.


Saint Médard mourut à Noyon, et son corps parut entouré de lumières célestes. On lui attribue l’institution de la fête de la Rose, dans laquelle il donnait une couronne de roses et une dot de 25 livres à la jeune fille de Salency qui jouissait de la meilleure réputation de vertu.

Saint Godard était mort à Rouen le 8 juin 528, et sa belle âme avait été vue s’élevant vers le Ciel sous la forme d’une colombe.


 voir la grande vie du Saint


Résolution pratique du jour
N’oubliez jamais que Dieu bénit d’une manière étonnante la charité envers les pauvres.

Méditation du jour
Qu’il faut nous adonner à l’imitation de Jésus-Christ  suite

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