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Un simple prêtre de l’Église catholique
526 UN SIMPLE PRÊTRE DE L’ÉGLISE CATHOLIQUE Depuis l’heure où la course à la mitre a été lancée (heure difficile à préciser puisqu’il y a eu de nombreuses tentatives et des réalisations dans différents pays et sous des étiquettes ou justifications variées), il est à la fois très difficile et fort facile d’être un simple prêtre. Difficile, car il y a stimulation par les (mauvais) exemples de ceux des prêtres qui ont cru devoir se laisser entraîner dans « la voie épiscopale » et satisfaire les réclamations-pousse-au-crime de certaines catégories de fidèles, au nom de l’efficace —évêque, cela vous pose—, et surtout ici de l’illusoire : « le bien des âmes des fidèles ». En effet, comment procurer une fin bonne avec des moyens mauvais : des évêques —peut-être valides ?— mais objectivement et certainement pas « d’Église ». Difficile aussi, car c’est se priver de l’illusion de la continuité, de la survie après soi d’une « œuvre » entreprise. Car bien sûr, si l’« épiscopat sauvage » est irrecevable, ses effets, ses actes, ses œuvres le sont tout autant. Facile, parce que ce « nouveau type d’épiscopat » n’apportant rien que des inconvénients graves, maux qui viennent s’ajouter au mal de la crise de l’Église, le peu qui, éventuellement, peut être fait « pour le bien des âmes », c’est d’apporter la première des charités : la vérité avec le témoignage aussi authentique que possible de la Foi, sans biaiser, avec des fondements catholiques éprouvés et non trafiqués. ORPHELIN DANS CETTE CRISE DE L’ÉGLISE On peut trouver à un orphelin un substitut à son défunt père, mais il ne saurait le remplacer. L’orphelin ne saurait pas davantage se procurer par lui-même un père de remplacement. Un orphelin ne peut guère que subir un état de fait, il ne peut que vivre (et peut-être même survivre) sans père, tout en respectant évidemment les règles habituelles de la vie en société. Sa situation difficile, pénible, douloureuse, ne saurait justifier de « faire n’importe quoi ». À LA TÊTE D’UNE PETITE COMMUNAUTÉ ad experimentum Il s’agit de la Confrérie de la Mère de Dieu avec deux maisons en Provence, l’une près de Cannes, l’autre en Haute-Provence. QUASI-CURÉ D’UNE QUASI-PAROISSE DEPUIS PLUS D’UN QUART DE SIÈCLE C’était dans Cannes (chapelle Saint-Cassien) et ses environs depuis le début des années ’80. DEVENU RÉCEMMENT QUASI-ERMITE À CAUSE DES RÉDUCTIONS D’EFFECTIFS DUES À LA CRISE… (de l’Église) La perte de la Foi qui se généralise, une situation affreuse qui perdure depuis trop longtemps qui use et, pour beaucoup de ceux qui résistent, l’emploi de moyens mauvais pour défendre une juste cause, découragent jusqu’aux meilleurs. FONDATEUR DE LA REVUE LES CAHIERS DE CASSICIACUM AVEC LE R.P. GUÉRARD DES LAURIERS, o.p Cliquez sur l’onglet de la rubrique : Les Cahiers de Cassiciacum.
Prieuré La Croix Saint-Joseph 1110, chemin du Puits du Plan 06370 MOUANS-SARTOUX Tél. : 04 93 75 19 18 (Attention : pas de répondeur, ou sans usage) Messe tous les dimanches à 9 h 30 Et en semaine horaires variables, sauf absences. Se renseigner. Par périodes tout au long de l’année, également : Prieuré Notre-Dame de La Salette 04170 MORIEZ Tél. : 04 92 89 11 01 (Attention : pas de répondeur, ou sans usage) |
Dimanche 9 février 2025
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