S. Gabriel de l’Addolorata
27 février

RÉSUMÉ :


Mort à vingt-quatre ans comme saint Louis de Gonzague, ce jeune Saint italien nous donne, comme son compatriote, l’exemple d’une adolescence tout entière pénétrée par la grâce de Dieu.

Né en 1838, il entra en 1856 chez les Passionistes, y fit ses vœux, reçut les Ordres mineurs, et mourut le 27 février 1862.

Seule une exacte observation des devoirs d’état et un culte très vif pour la Vierge Marie, Mère des douleurs, l’avaient distingué de ses compagnons d’étude.

Benoît XV le canonisa en 1920.


(Les années bissextiles, les Saints du 24 février sont fêtés le lendemain 25 février, ceux du 25 le 26,… jusqu’aux Saints du 28 fêtés le lendemain 29 février.)

1637

Ce jeune Saint, né à Assise, et qui vécut au milieu du XIXe siècle — il est mort en 1862 —, nous montre par son exemple que la sainteté ne consiste pas à faire de grandes choses, mais dans l’amour de Dieu bien compris. Conformément à l’enseignement que nous donne l’Épître d’aujourd’hui, saint Gabriel, désireux de pratiquer l’abnégation et l’humilité trouva dans l’Institut des Passionistes fondé par saint Paul de la Croix les puissants aliments de l’ascension de son âme vers la sainteté : l’imitation des souffrances du Christ et un ardent amour de la Sainte Vierge dans ses douleurs.

Il mourut en couvrant de baisers l’image de Notre-Dame des Sept Douleurs. « Ô ma bonne Mère, s’écriait-il, faites vite, c’est-à-dire conduisez-moi bien vite près de votre Fils au Paradis ». Comme saint Louis de Gonzague, il mourut à 24 ans.

En le béatifiant, saint Pie X le proposa comme le parfait modèle du jeune homme chrétien, car n’ayant rien fait d’extraordinaire, saint Gabriel de l’Addolorata est un exemple que tous peuvent imiter en faisant par amour pour Dieu leurs actions de chaque jour. D’éclatants miracles ayant confirmé sa précoce sainteté, Benoît XV le canonisa en 1920 et Pie XI étendit sa fête à l’Église universelle en 1932.


Samedi 17 mai 2025
S. Pascal Baylon,

confesseur
3e classe

Temps Pascal



Oraison - collecte
Ô Dieu, qui avez orné l’âme du bienheureux Pascal Votre Confesseur, d’un admirable et tendre amour pour les mystères sacrés de Votre Corps et de Votre Sang, accordez-nous, dans Votre bonté, que nous méritions de retirer de ce banquet divin la même abondance de  grâces, qu’il y a trouvée. Vous qui vivez et régnez avec Dieu le Père dans l’unité du Saint-Esprit, Dieu dans tous les siècles des siècles.
Ainsi soit-il

Vie du Saint du jour
Né dans le royaume d’Aragon en Espagne, saint Pascal passa son enfance à garder les troupeaux.

À vingt ans, il entra dans l’Ordre des Frères Mineurs déchaussés, où il devint un modèle de la plus grande austérité, de la plus complète obéissance et de la pauvreté séraphique la plus parfaite.

Sa méditation des choses de Dieu était si profonde qu’elle le plongeait dans des extases d’amour. Il y puisa une science des choses divines qui le rendait capable de parler sur les mystères les plus obscurs de la foi.

Il fut surtout célèbre par sa dévotion envers le Très Saint Sacrement de l’Eucharistie et passait des heures en prières devant le tabernacle. Le Pape Léon XIII l’a déclaré protecteur des Congrès et de toutes les Œuvres eucharistiques.

Comme « les serviteurs qui attendent leur maître », saint Pascal attendit la venue de Jésus et à l’heure même qu’il avait prédite, le 17 mai 1592, jour de la Pentecôte et anniversaire de sa naissance, il monta au Ciel à la suite du Christ ressuscité.

Imitons l’amour de saint Pascal envers l’Eucharistie « afin de mériter de retirer de ce banquet la même abondance des grâces qu’il y a trouvées ».



Résolution pratique du jour
Appliquez-vous à une dévotion tendre et continuelle envers la sainte Eucharistie.

Méditation du jour
Puissance de la prière publique  suite

|Qui sommes-nous ?| Effectuer un don| Contacts| |