Après les témoignages,
si nombreux
et si positifs,
que nous avons de la bonté
et de la miséricorde de Dieu,
que nous reste-t-il à faire,
sinon de Le considérer comme un Maître,
plus désireux de gagner nos cœurs par Ses bontés
que nous ne saurions le croire ;
de recourir à Lui,
dans tous nos besoins,
avec la confiance
que nous accorderions en pareil cas à un père,
à une mère dont la tendresse nous serait bien connue,
sans craindre ni d’essuyer un refus,
ni de Lui être à charge,
mais tenant pour certain
que ce que nous Lui demandons,
Il est disposé à nous l’accorder de tout Son cœur ?
Or, je le dis en toute assurance,
quiconque s’approchera de Dieu
avec ce sentiment d’une juste confiance
ne Le quittera point
que ces vœux ne soient exaucés,
et il Le trouvera d’autant plus magnifique dans Ses largesses,
qu’il aura une plus haute opinion de Sa générosité.
(R.P. Rogacci, s.j.)