Méditation du jour
- 25 février
Cherchons à consoler Jésus-Christ ”

La plus grande consolation pour Jésus

est sans contredit celle que nous avons apportée à Son Cœur

par la vie sainte

que nous menons coûte que coûte,

jour après jour,

en vertu de la grâce que nous a méritée Sa Passion.

Prévoyant dès lors ce fruit de Ses douleurs,

Il en a été tout réconforté.

Quelle ferveur de contrition,

quelles résolutions énergiques de ne plus retomber,

quel élan pour le bien,

une âme délicate puisera

dans de telles considérations !

Nous en connaissons

dont la vie a été transformée

à partir du jour où ces vérités

leur ont été connues.

Une telle révélation

apporte aux passions le frein le plus efficace,

et au besoin d’aimer,

le seul objet capable de le satisfaire pleinement.

Jusqu’à ce jour, on a peut-être pratiqué la religion,

mais froidement,

par obéissance

ou par crainte.

Désormais le cœur est conquis

et c’est avec joie

qu’il se dévoue

tout entier

au service de Celui qui l’a aimé d’avance

et qui a attendu si longtemps

pour être aimé à Son tour.


(R.P. Joret, o.p.)


Samedi 12 juillet 2025
S. Jean Gualbert,

abbé
3e classe

Temps après la Pentecôte



Oraison - collecte
Que l’intercession du bienheureux Abbé Jean Gualbert nous recommande, s’il Vous plaît, auprès de Vous, Seigneur, afin que nous obtenions, par son patronage, ce que nous ne pouvons attendre de nos mérites. Par Jésus-Christ Votre Fils, Notre Seigneur, qui vit et règne avec Vous dans l’unité du Saint-Esprit, Dieu dans tous les siècles des siècles. Ainsi soit-il.


Mémoire de S. Nabor et de S. Félix, martyrs :


Faites, s’il Vous plaît, Seigneur, que comme nous célébrons fidèlement la naissance au Ciel de Vos saints Martyrs Nabor et Félix, ainsi nous soyons constamment aidés de leurs prières. Par Jésus-Christ Votre Fils, Notre Seigneur, qui vit et règne avec Vous dans l’unité du Saint-Esprit, Dieu dans tous les siècles des siècles.

Ainsi soit-il

Vie du Saint du jour
Saint Jean Gualbert naquit à Florence, vers l’an 999. Un Vendredi-Saint, escorté de ses gens en armes, il rencontra, seul et sans défense, le meurtrier de son frère. Il allait le percer de sa lance, quand celui-ci se jeta à ses pieds et implora son pardon pour l’amour de Jésus crucifié. Saint Jean se souvint de la parole d’amour de l’Évangile et l’embrassa comme un frère.


Touché davantage encore de la grâce, il revêtit l’habit monastique et bientôt, législateur comme Moïse, il fonda, à Val-Ombreuse (Toscane), un Ordre nouveau auquel il donna la règle de saint Benoît, et qui fleurit encore de nos jours, après plus de huit siècles d’existence.


La simonie régnait partout en Italie. Sa fermeté et son éloquence bannirent ce désordre de l’Étrurie et ramenèrent sa patrie à l’intégrité de la Foi et des mœurs. Aussi quand il mourut en 1073, on écrivit sur sa tombe : « À Jean Gualbert, citoyen de Florence, libérateur de l’Italie ».


 voir la grande vie du Saint


Résolution pratique du jour
Réconciliez-vous avec vos ennemis, pour l’amour de Jésus crucifié.

Méditation du jour
L’amour émanant du foyer eucharistique  suite

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