Nous sommes heureux d’être Catholiques,
parce que l’Église,
par la doctrine consolante de la Communion des Saints,
nous apprend à rester en relation
non seulement avec les Élus du Ciel
qui prient avec nous et pour nous,
mais avec les pauvres âmes qui,
dans l’exil du purgatoire,
achèvent d’expier leurs péchés.
Quelle consolation de penser que,
par nos prières,
par l’acceptation de nos peines,
par nos sacrifices,
par nos actes de vertu,
nous pouvons secourir les défunts,
ceux que nous avons connus et aimés,
ceux même que nous ne connaissons pas
et qui, pareils au paralytique de l’Évangile,
n’ont personne qui leur tende la main.
Jésus nous engage à faire l’aumône aux pauvres
« pour que, lorsque nous quitterons la vie,
« ils nous reçoivent dans les tabernacles éternels ».
(Mgr Besson)