La beauté de Jésus est inépuisable.
Comme la vue de Dieu dans le Ciel,
elle est toujours variée,
et pourtant toujours la même ;
elle est toujours chère
comme une joie ancienne
et familière,
et pourtant toujours un objet de surprise
et de rafraîchissement pour l’esprit,
comme si elle était, en réalité,
toujours nouvelle.
Jésus est beau toujours,
beau partout,
lorsqu’Il est défiguré
par les tourments de Sa Passion,
aussi bien que dans les splendeurs
de la Résurrection,
parmi les horreurs de la flagellation
aussi bien qu’au milieu
des charmes indescriptibles
de Bethléem.
(R.P. Faber, de l’Oratoire)